4 février – Journée mondiale du cancer

Journée mondiale du cancer

"Plus de la moitié des morts par cancer pourraient être prévenus, à l'exemple des cancers liés à l'usage de tabac et d'alcool"

Chaque année le 4 février, pour la Journée mondiale contre le cancer, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et le Centre international de Recherche sur le Cancer (CIRC) soutiennent l’Union internationale contre le cancer (UICC) pour promouvoir les moyens de faire reculer la charge de morbidité imputable à cette maladie.

De nombreux cancers peuvent être prévenus en évitant les principaux facteurs de risque, comme le tabagisme. Un nombre significatif de cancers peuvent être soignés par la chirurgie, la radiothérapie et la chimiothérapie surtout s'ils sont détectés suffisamment tôt. (Extrait du site des Nations Unies)

Les faits

  • Les cancers les plus graves sont ceux du poumon, de l’estomac, du foie, de l’intestin et du sein
  • Les types de cancer les plus fréquents sont différents chez l’homme et chez la femme
  • Environ 30% des décès liés au cancer sont dus à cinq facteurs de risques comportementaux et diététiques : indice de masse corporelle élevé, alimentation en fruits et légumes pauvre, manque d’activité physique et usage de tabac et d’alcool
  • Fumer est le facteur de risque le plus important. C’est la cause de 22% des décès annuels par cancer et de 71% des cancers du poumon
  • Les cancers liés aux infections par virus, comme l’hépatite B (VHB) et C (VHC) ou les papillomavirus humains (PVH) sont responsables de près de 20% des décès dans les pays à revenu faible et intermédiaire
  • Près de 70% des décès enregistrés en 2008 se sont produits dans les pays à revenu faible et intermédiaire

Prévenir les addictions pour lutter contre le cancer

A l’occasion de la journée mondiale du cancer, Dianova rappelle que plus de la moitié des morts par cancer dans le monde peuvent être potentiellement prévenus, à l'exemple des cancers liés à la consommation de tabac et à l’abus d’alcool. C’est pourquoi nous insistons pour que soient mises en place des politiques sociales et éducatives permettant d’encourager des comportements sains tout en réduisant les pratiques nocives.