Rejoignez la campagne '16 jours d'activisme contre la violence de genre'!

Nous célébrons le 25 novembre la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, journée de sensibilisation et de lutte contre toutes les formes de violence sexiste. Depuis 25 ans, la société civile et les organisations gouvernementales ont choisi cette date pour entreprendre un voyage de 16 jours afin de sensibiliser aux conséquences de la violence sur des millions de femmes et de filles dans le monde entier.

Alors que des progrès certains ont été réalisées en faveur de l’égalité entre les sexes et de l’autonomisation des femmes, la violence de genre persiste avec un taux d’occurrence alarmant. Les femmes, les filles, les personnes transgenres et les femmes noires sont parmi les groupes les plus touchés, chacun d’entre eux éprouvant des degrés de vulnérabilité différents et étant exposés à différentes expressions de la violence sexiste.

Aidez à mettre fin au modèle historique et répandu de subjugation fondé sur le genre. Joignez-vous à Dianova et soutenez la campagne d’ONU Femmes visant à sensibiliser le public et à financer la lutte contre la violence à l’égard des femmes et contre toutes les formes de violence fondée sur le genre. Durant les 16 prochains jours, nous transmettrons ce message essentiel sur notre site Web de Dianova et via les réseaux sociaux.

Suivez-nous et aidez-nous à faire passer le mot, pour un monde plus sûr et plus libre, pour tous et toutes.

La situation

Selon l’Organisation mondiale de la santé, on estime que 1 femme sur 3 a subi une forme de violence physique, sexuelle et/ou psychologique au cours de sa vie, principalement commise par un intime. Aux États-Unis, par exemple, la prévalence de la violence familiale est de 35% plus élevée chez les femmes afro-américaines. En outre, des centaines de millions de filles dans le monde entier ont été forcées à se marier avant leur 18e anniversaire ou ont été maltraitées dans leur enfance. De même, ONU Femmes signale que 70% des victimes de la traite des êtres humains sont des femmes et que plus de 200 millions de femmes ont subi des mutilations génitales.

Dans le même ordre d’idées, en dépit d’un manque de données spécifiques, les femmes transgenres sont 1,8 fois plus susceptibles d’être victimes de violence sexuelle que les autres femmes victimes de violence et elles sont également davantage susceptibles d’être victimes de discrimination et harcelées par la police. En outre, à l’intersection du racisme et de la transphobie, l’incidence de la discrimination et des violences commises par la police contre les personnes noires et transgenres est 6 fois plus élevée comparativement aux violences subies par les victimes cisgenres.

Partager cette page sur les réseaux

facebook-logo-blue

twitter-logo-blue

Soutenez la campagne d’ONU Femmes visant à sensibiliser le public et financer la lutte contre la violence à l’égard des femmes. Suivez-nous et aidez-nous à faire passer le mot, pour un monde plus sûr et plus libre, pour tous et toutes!